Rôle :
Installer sur les motorisations essence à partir de 1993, son rôle est de diminuer les émissions polluantes comme le HC et le CO en les transformants en CO2 grâce à l’oxygène présent dans la ligne d’échappement et en eau. Il permet aussi de réduire les oxydes d’azote soit un catalyseur de type 3 voies.
HC = Hydrocarbure imbrulé,
CO = Monoxyde de carbone,
CO2 = Dioxyde de carbone,
O2 = Oxygène,
H2O = Eau,
NO, NO2 soit NOX = Oxydes d’azote.
Le catalyseur est accouplé à un ou plusieurs sondes lambdas et sur les véhicules récents d’une sonde de température Gaz d’échappement.
Pour plus d’information sur les sondes lambda, consulter notre article. Lire l’article.
Défaillance d’un système catalytique :
Lors des petits trajets du quotidien, le pot catalytique n’atteint pas sa température de fonctionnement soit 300°C minimum. Celui-ci peu engendré des défaillances et ou un encrassement du catalyseur.
- Perte de puissance,
- Démarrage difficile,
- Fumer à l’échappement,
- Ralenti instable,
- Odeur de souffle,
- Surconsommation,
- Voyant moteur,
- Mode dégrader,
- …
Mauvaise efficacité :
Les polluants ne sont pas traités et lors d’un test de CO pendant le contrôle technique le tôt peut dépasser les 0,5% et un code erreur P0420 peut être généré par le calculateur lors des contrôles lambdas. Une prise d’air en amont ou aval peut être mise en cause et faussé les informations des sondes lambdas.
Catalyseur bouché :
Réduisant alors le débit d’air moteur et donc la puissance, la cause la plus plausible lors d’une surchauffe anormale de l’échappement, le système pain catalytique fond et ou en morceaux « cassé ». Si le système catalytique est endommagé, un bruit métallique se fera ressentir et ou des vibrations dans le pot catalytique.
Anomalie catalyseur et voyant moteur :
Celui-ci est généré par le calculateur lors des contrôles lambda. Le catalyseur peut être mise hors de cause si une sonde est défaillante et ou un problème lors de la combustion (lambda, bougie, bobine, injecteur, consommation d’huile ou de liquide de refroidissement, etc.), un passage à la valise de diagnostic est très utile en complément d’un contrôle générale du technicien.
Recaler au contrôle technique « antipollution » :
Avec un mélange Riche :
Trop de carburant injecté par rapport à la quantité d’air admise dans le cylindre, il n’y a pas assez d’oxygène présent dans les gaz d’échappement pour oxyder le monoxyde de carbone et les hydrocarbures.
Exemple : Une prise d’air entre le papillon et le capteur MAP provoquera un mélange trop pauvre.
Avec un mélange Pauvre :
Un excès d’air comparer au carburant, le système catalytique obtient des taux importants de réduction des émissions de CO et de HC sauf qu’il devient inefficace pour réduire les émissions d’oxyde d’azote.
Exemple : Pression de carburant trop élevé et ou une consommation d’huile, provoquera un mélange trop riche.
Il existe plusieurs mise en cause d’un mélange trop pauvre ou trop riche en carburant (une prise d’air en amont ou en aval de système catalytique, catalyseur Bouché ou HS, sonde lambda, capteur, capteur MAP / Débitmètre, problème d’injection « injecteur, pression, etc. ».
Peut-on supprimer un système catalytique ?
La suppression du catalyseur est possible grâce à un tube accouplé à une reprogrammation du calculateur moteur. Les véhicules équiper d’une sonde lambda amont uniquement n’a pas besoin de reprogrammation du calculateur.
Pour les véhicules équiper d’une sonde lambda amont et aval, la reprogrammation du calculateur moteur est obligatoire et ou leurrer la sonde aval, sans modification du calculateur moteur le véhicule passera en mode dégradé et affectera les performances.
Cependant, la suppression d’un système antipollution est formellement interdite par la loi sous peine d’amende et d’immobilisation du véhicule et celui-ci entrainera un refus au contrôle technique obligatoire.
Diagnostic et vérification :
1. Si le véhicule démarre mal ou gros manque de puissance, retirer la sonde lambda amont, l’idée est d’évacuer la pression générer par le boucher et voir si le véhicule démarre et ou reprendre de la puissance.
2. Contrôler la structure en nid d’abeille du pot catalytique, celui doit=être démonter et contrôler visuellement avec une lampe et ou une caméra.
3. Taper sur l’enveloppe du catalyseur avec un marteau et s’il est cassé vous entendrez des bruits de pièces s’entrechoques.
4. A l’aide d’un thermomètre infrarouge, on vérifie sur un moteur chaud la température d’entrée et de sortie du catalyseur « attention au protection thermique, qui tromper les valeurs ». Un catalyseur doit avoir 300°C minimum en entrée et minimum 300°C en sortie de catalyseur.
Exemple d’un catalyseur en état : 400°C en entrée catalyseur et 450°C en sortie.
Exemple d’un catalyseur bouché : 400°C en entrée catalyseur et 350°C en sortie.
5. Un test antipollution des 4 gaz et un contrôle des valeurs lambda par un technicien.
Bilan :
Les réactions chimiques générées dans le catalyseur produisant une augmentation de température de celui-ci. La température à la sortie du catalyseur est plus élevée qu’à l’entrée d’une différence de 20°C à 50°C.